Thursday, January 13, 2011

Response to “Le roi de Bollywood fait plier l'extrême droite”

A brief response to an incident featuring an explosive convergence of Indian political, sport, and film cultures:

Qu'est-ce qui se passe quand les trois sphères les plus populaires de la société indienne se convergent? C'est une crise magnifique, une crise qui exige une réponse direct du peuple. Les trois sphères dont on parle: ce sont la politique, le cricket, et l'industrie de film. Cet article raconte la controverse qui suit quand ces trois pouvoirs, avec leurs idéologies différentes doivent se battre pour une victoire.

Premièrement, il faut décrire la situation qui a fait manifester ces tensions. Il est récemment devenu de mode que les vedettes indiennes achètent les équipes de cricket les plus populaires. En suivant ce mode, l'acteur le plus célèbre du nom Shahrukh Khan, est aussi devenu chef d'une grande équipe. Cet achat était accepté d'un ton tout normal avant que Shahrukh Khan a décidé de sélectionner quelques joueurs pakistanais pour son équipe indienne de cricket. A ce moment, un parti politique extrêmement conservateur de l'etat de Maharashtra (où l'industrie de Bollywood se trouve), le Shiv Sena, a déclaré que Khan était un traître. Le parti politique a protesté avec colère que Khan soi-même aurait dû partir au Pakistan. Et il faut maintenant révéler une autre complication de ce récit: un film titré My Name is Khan. Ce film bien attendu par les enthousiastes du film indien de metteur en scène Karan Johar avec Shahrukh Khan s'agit de l'identité des musulmanes après les évènements de 11 septembre. Le Shiv Sena a annoncé le boycott de ce film à Mumbai; ils croyaient que ce film qui montrerait l'islam comme une religion paisible serait une nouvelle forme de la propagande de Khan. On doit se poser la question: «Qui gagnera cette bataille? Et plus important – qui convaincra le peuple? La majorité hindoue, va-t-elle s'aligne avec les conservateurs religieux ou l'industrie de film plus laïque?»

Cette crise se termine avec une victoire pour la laïcité en Inde. On avait totalement ignoré les appels pour le boycott du nouvel film. En revanche, My Name is Khan était prononcé un énorme succès au box-office; sa popularité continue même aujourd'hui aux cinémas indiens et à l'étranger.

Avoir étudié cette situation-ci, il est devenu évident que beaucoup de problèmes et de conflits se présentent à la société sud-asiatique. Il faut encore réviser la définition d'une démocratie et les libertés accordées au peuple et le rôle limité des partis politiques sous ce système. Par exemple, est-ce qu'on vraiment possède un système gouverné par la démocratie si une petite, mais puissante faction politique peut potentiellement interdire un des plus grand films de l'an? Et sous une gouvernance démocratique, tolérera-t-on un parti politique qui se fonde sur la haine des minorités? A mon avis, toutes ces questions sont posées d'un perspective occidental ou le droit le plus essentiel reste celui d'un individu sous les lois. Mais, il me semble que la société indienne se concerne plus des sentiments d'une communauté sous la gouvernance des coutumes et habitudes traditionnelles. Ce genre de régulation sociale ne marche plus dans notre société moderne, une société dans laquelle toutes les traditions crée un mélange. Donc, il faut que chaque indien – riche ou pauvre, libéral ou conservateur, hindou ou musulmane – puisse faire une tentative de trouver une vraie démocratie indienne.

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